Qui n’a jamais été victime de violence? Parfois sournoise, parfois plus directe, elle se manifeste sous de multiples formes, et dans une variété infinie de contextes. Elle touche des individus de tous âges, sexes et milieux.

Seulement au Québec, entre 2014 et 2022, le nombre de victimes de crimes violents a bondi de 36.74% et ses victimes sont de plus en plus jeunes. En effet, selon une étude de 2018 de l’Institut des statistiques du Québec, plus de la moitié des enfants de moins de 17 ans auraient subi au moins un type de violence dans les 12 mois précédents. Et ces chiffres ne font que s’aggraver.

Mais quels sont les effets réels de la violence? Comment reconnaître les potentielles manifestations de la violence, surtout chez les jeunes? Et quoi faire si je pense que mon adolescent ou quelqu’un de mon entourage est victime de violence?

Nombre de victimes de crimes violents au Québec entre 2014 et 2022 - Familio

Qu’est-ce que la violence?

La violence peut se manifester sous de multiples formes et dans divers contextes. Elle affecte des individus de tous âges, sexes et milieux. Pour le bien de cet article, nous la définirons comme une interaction entre deux ou plusieurs personnes où des actes (paroles, écrits, gestes, qu’ils soient évidents ou subtils) sont intentionnellement posés contre autrui, pouvant entraîner des conséquences néfastes telles que l’anxiété, la perte de biens matériels, des traumatismes, ou d’autres dommages (https://www.quebec.ca/famille-et-soutien-aux-personnes/violences/violences#c61970).

Cette définition englobe une large gamme d’actions qui vont de l’agression physique à la violence psychologique. Et chaque geste violent, même le plus petit, peut avoir des effets importants.

Les effets de la violence

La violence a de nombreux effets et conséquences. Chez la victime, les impacts physiques peuvent se traduire par des maux de tête, des crampes d’estomac, des fractures, et des foulures. L’anxiété et l’insomnie sont également des effets fréquents, reflétant l’impact psychologique profond de ces expériences.

Les répercussions sur la santé mentale sont tout aussi alarmantes. La perte de confiance en soi, l’angoisse et la peur deviennent des compagnons constants. Les victimes peuvent ressentir un sentiment d’incompétence et de honte, pouvant conduire jusqu’à des idées suicidaires.

L’isolement social est aussi un symptôme fréquent chez les personnes affectées, et particulièrement chez les jeunes, qui peuvent se retirer de leurs activités sociales habituelles. Cela aggrave leur situation en les privant du soutien de leurs pairs et de leur communauté.

Parfois, les jeunes changent leur comportement de façon significative. Ils peuvent devenir plus agressifs ou utiliser des médicaments ou des drogues pour faire face à leur douleur. Ils peuvent également exhiber une hyperactivité ou, à l’inverse, un retrait complet, indiquant leur lutte pour gérer leur stress et leur anxiété. 

Les types de violence

La compréhension des formes de violence est essentielle pour identifier les signes et prévenir cette dernière chez les jeunes et moins jeunes. Il y a existe différents types de violence qui affectent les gens de différentes façons. Chaque type a ses propres manifestations et conséquences. Reconnaître ces différents types est crucial pour intervenir efficacement et offrir le soutien nécessaire aux victimes. 

Violence physique

La violence physique est une des manifestations les plus visibles. Elle englobe des actions allant du simple coup de poing sur une table à des actes extrêmement graves comme l’homicide. Elle peut cibler des personnes, des groupes, des objets, des animaux, ou même des lieux, rendant son impact particulièrement étendu et dangereux.

Régulièrement banalisée dans les sports, les films, sur le web ou dans les jeux vidéo, ses impacts n’en restent pas moins réels. D’ailleurs, seulement en 2022, le taux de crimes violents par arme à feu a bondi de 9% au Canada (https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2045622/taux-crimes-violents-armes-feu-augmentation-canada-2022).

Violence verbale

La violence verbale est utilisée pour intimider, humilier ou contrôler une personne ou un groupe. Elle peut prendre différentes formes, comme les insultes, les menaces, les cris, les blâmes, les critiques, l’harcèlement et les railleries. Elle inclut l’utilisation de sarcasme, les insultes directes, les propos dégradants ou humiliants et plus encore.

Violence psychologique

La violence psychologique est une forme de violence dont les manifestations sont souvent minimisées. Utilisée pour contrôler ou dominer une personne, cette forme de violence est très subtile et insidieuse. Elle implique des actions telles que la critique constante, la déformation de la réalité pour altérer la perception de quelqu’un et la manipulation des émotions.

Elle peut être difficile à détecter, car elle est souvent camouflée derrière des comportements qui peuvent paraître anodins ou justifiés dans certaines cultures. De plus, elle peut se présenter dans des contextes et des lieux divers et privés, comme par exemple dans le cadre d’une relation amoureuse, d’une relation patron-employé ou d’une relation parent-enfant.

Violence sexuelle

La violence sexuelle représente une des formes de violence les plus graves et intimes. Les victimes de violence sexuelle sont de sexes et de genres divers. Les actes de violence sexuelle incluent toute action, geste ou parole liés à la sexualité qui est imposée sans consentement et ce, même si elle a lieu dans le cadre d’une relation conjugale. Elle implique d’ailleurs souvent des personnes connues de la victime, comme un ami ou un partenaire amoureux. 

Les manifestations de ce type de violence sont diverses. Celles-ci peuvent varier de menaces pour obtenir des faveurs sexuelles à des attouchements non désirés, mais inclut aussi le harcèlement sexuel, le sextorsion ainsi que l’envoie et le partage de photos intime non consenti.

Malgré la gravité de ces actes, la violence sexuelle reste souvent peu dénoncée, en raison de la connaissance de l’agresseur par la victime, du sentiment de culpabilité, ou de la peur du système judiciaire.

Violence économique

La violence économique se caractérise par des comportements qui restreignent l’accès à l’autonomie financière. Tout comme la violence physique ou psychologique, elle peut être exercée de manière ouverte ou plus subtile.

Elle inclut souvent le contrôle des revenus de la victime, comme interdire à quelqu’un de travailler ou saisir ses gains. Cela peut aussi impliquer des restrictions sévères sur le budget familial, ne pas partager équitablement les ressources ou refuser de financer des besoins essentiels.

Les formes de violence peuvent varier en intensité et en méthode, mais toutes partagent un objectif commun : limiter la liberté et renforcer la dépendance de la victime envers l’agresseur. Dans les cas de violence économique, cette dépendance crée une situation où la victime se trouve piégée, incapable de prendre des décisions indépendantes ou de quitter une situation abusive par manque de ressources financières. Identifier et comprendre cette forme de violence est crucial pour soutenir efficacement les victimes et leur offrir les moyens de retrouver leur indépendance.

Violence sociale

La violence sociale se manifeste par l’isolement de la victime de ses proches et de son réseau social. Ce type de contrôle est souvent exercé par un partenaire qui limite les interactions de la victime avec les autres. Cette stratégie vise à maintenir la victime sous contrôle en limitant ses options de support et d’évasion de l’abus.

Les signes de violence sociale incluent surveiller les déplacements de la victime, être excessivement jaloux et surveiller ses communications personnelles. Critiquer constamment les amis et la famille de la victime et espionner ses conversations téléphoniques ou électroniques sont des pratiques courantes dans ces cas de violence.

Violence spirituelle / religieuse

La violence spirituelle ou religieuse est une forme de violence qui intervient lorsque la liberté de quelqu’un d’exprimer ses croyances religieuses ou de fréquenter un lieu de culte est entravée. Ce type de violence se caractérise par la critique et l’invalidation des convictions, traditions, et cultures d’autrui, souvent justifiées par des conceptions religieuses pour contrôler ou manipuler.

Les comportements agressifs dans ce contexte peuvent inclure l’utilisation de croyances religieuses pour justifier la violence dans leurs relations ou pour dominer les autres. Cette forme de violence est souvent masquée sous des prétextes de piété ou de fidélité religieuse, ce qui peut rendre ses signes difficiles à identifier.

Ces formes de violence sont souvent sous-estimées, mais peuvent avoir des impacts profonds sur la santé mentale et le bien-être des victimes, en les privant de leur liberté de croyance et en altérant leur relation avec leur propre spiritualité. 

Violence identitaire

La violence identitaire, également appelée violence culturelle, cible les caractéristiques personnelles d’individus pour les rabaisser, manipuler et contrôler. Cette forme de violence englobe le racisme, le sexisme, le classisme, l’âgisme, le capacitisme, l’homophobie, la biphobie et la transphobie. Les comportements de violence associés à ces oppressions peuvent se superposer à d’autres formes d’abus, rendant la situation plus complexe et plus difficile pour les victimes.

Les premières études sur la violence identitaire révèlent que les victimes sont souvent isolées de leurs pairs et subissent des conséquences à long terme comme l’anxiété, la dépression, et une faible estime de soi. En plus de subir des abus psychologiques, ces individus peuvent également devenir des victimes de violence physique. Identifier et adresser ces comportements est essentiel pour offrir le soutien nécessaire aux victimes et pour travailler vers une société plus juste et inclusive.

Cyberviolence

La cyberviolence est une forme insidieuse d’abus numérique qui est de plus en plus répandue. Elle se manifeste par des comportements tels que le cyberharcèlement, qui inclut des menaces, des insultes, le lancement de rumeurs malveillantes, la sextorsion ou encore le vol d’identité. Ces actes sont souvent facilités par l’anonymat d’Internet, ce qui permet aux agresseurs de cacher leur véritable identité ou de se faire passer pour quelqu’un d’autre.

Les exemples de cyberviolence sont variés : un adolescent peut recevoir des messages menaçants sur son téléphone, voir des rumeurs embarrassantes sur sa vie privée diffusées sur les réseaux sociaux, ou encore être exclu de groupes en ligne de manière délibérée pour l’isoler de son cercle social. D’autres formes incluent le «flaming», où des messages incendiaires sont envoyés pour humilier publiquement, ou le «happyslapping», qui implique d’enregistrer des agressions sur une personne pour ensuite diffuser la vidéo en ligne. Ces actions ont des impacts dévastateurs sur la santé mentale des jeunes, entraînant anxiété, dépression, et parfois des issues encore plus tragiques.

Reconnaître la cyberviolence dans les fréquentations chez les jeunes est essentiel pour intervenir efficacement. Selon une étude commandée par McAfee en 2022, 57% des Québécois de 10 à 18 ans ont déjà subi de la cyberintimidation et pourtant, seulement 22% de ceux-ci ont été chercher de l’aide (https://www.lapresse.ca/actualites/2022-09-03/57-des-jeunes-quebecois-ont-deja-subi-de-la-cyberintimidation.php). 

Les jeunes victimes de violence en ligne doivent être soutenues et comprendre que des recours légaux existent pour les protéger. Les parents et éducateurs doivent être vigilants et prêts à agir pour stopper ces abus, en encourageant les jeunes à parler et en surveillant leur activité en ligne.

Contrôle coercitif

Le contrôle coercitif englobe diverses tactiques utilisées pour isoler, dégrader, et dominer une personne, réduisant ainsi sa liberté. Ce type de violence peut se manifester dans différents contextes, y compris mais non limité à la violence conjugale. Il inclut des méthodes qui vont au-delà de la violence physique, impliquant des actes de manipulation psychologique profonds qui maintiennent les victimes sous un contrôle strict, même en l’absence de l’agresseur, créant un climat de peur constant.

Les stratégies de contrôle coercitif incluent des actes d’intimidation comme les menaces de suicide ou de séparation, le harcèlement quotidien à travers la surveillance excessive des activités et des communications, ainsi que l’humiliation en public. L’isolement de la victime est fréquemment utilisé, empêchant l’accès à la famille ou aux amis, et les privations matérielles, telles que l’accès limité aux ressources financières ou médicales, sont également courantes. 

La violence dans les relations amoureuses chez les jeunes

Un mot sur la violence dans les relations amoureuses chez les adolescents: la violence dans les relations amoureuses à l’adolescence est un sérieux problème de santé publique en raison de ses impacts sur la santé mentale, physique et sexuelle. En effet, plus du tiers des adolescents de 3e, 4e et 5e secondaires en seraient victimes (Riberdy, H., et Tourigny, M. (2009). Violence et fréquentations amoureuses au secondaire: coup d’œil à Montréal. Enquête sur le bien-être des jeunes Montréalais, Rapport thématique 3. Montréal, Québec : Agence de la santé et des services sociaux de Montréal, Direction de la santé et des services sociaux de Montréal.)

Les jeunes ayant subi des traumatismes durant l’enfance ou ayant été témoins de violence conjugale sont particulièrement vulnérables à cette violence dans leurs relations amoureuses.

La violence dans les relations amoureuses chez les adolescents peut inclure des agressions à caractère sexuel et est exacerbée par l’exposition à la violence conjugale. Cette période de développement est cruciale car les adolescents expérimentent leurs premières relations amoureuses, ce qui joue un rôle clé dans la formation de leur identité et l’épanouissement affectif et sexuel.

Contrairement à l’âge adulte, la violence chez les adolescents peut être caractérisée par des relations courtes et successives. Cela, combiné à leur manque d’expérience, rend certains jeunes incapables de reconnaître la violence ou de chercher de l’aide appropriée. Contrairement aux idées reçues, la violence dans les relations amoureuses adolescentes n’est pas sans conséquence et peut sérieusement impacter le développement du jeune et influencer ses futures relations amoureuses. Encore une fois, si vous croyez qu’un jeune ou une personne dans votre entourage est victime de violence conjugale, ne restez pas les bras croisés: agissez.

Comment reconnaître les possibles manifestations de violence?

Connaître les signes potentiels d’abus est crucial afin de diminuer les risques au sein de votre communauté et éviter les conséquences négatives sur la vie des jeunes et moins jeune. Si vous êtes préoccupé par une situation, n’hésitez pas à discuter avec la personne concernée pour comprendre ce qu’elle vit. Il est important de valider ses expériences, de lui assurer que l’abus n’est jamais de sa faute et de ne pas tirer de conclusions hâtives ni porter de jugements sur les personnes impliquées. Rappelez-vous que la présence d’un signe d’abus ne confirme pas nécessairement son existence. Cependant, si vous remarquez des signes d’abus, ou si un jeune vous confie qu’il en est victime et que vous craignez pour sa sécurité, il est de votre devoir de signaler la situation.

Quoi qu’il en soit, voici quelques signes non exhaustifs indiquant de potentiels manifestations de violence, entre autres chez un jeune:

  • Se referme sur lui-même, s’isole, et refuse de participer à des activités auxquelles il prenait auparavant plaisir
  • Semble mal à l’aise et exprime qu’il ne veut pas rester seul avec un adulte
  • Manifeste des réactions émotionnelles qui ne correspondent pas à son âge ou à son stade de développement.
  • Exprime des regrets et trouve des excuses pour le comportement
  • violent 
  • Adopte des comportements soudainement régressifs
  • Souffre régulièrement de maux de têtes, nausées, douleurs au ventre, accident urinaire sans cause physique déterminée
  • Présente des comportements de passivité, agressivité, recherche excessive d’attention, retrait ou alternance entre docilité et défiance.
  • Souffre de blessures dont il ne se rappelle pas l’origine ou donne des explications qui ne sont pas cohérentes.
  • Sursaute lors de contact physique ou de mouvements brusques
  • Montre des connaissances ou des comportements sexuels inhabituels pour son âge
  • Fais référence / intègre des références sexuelles lors de jeu
  • Refuse soudainement de se changer pour ses cours d’éducation physique ou de participer à des activités physiques en général
  • Se gratte de manière excessive ou éprouve des difficultés à marcher ou à rester assis·e en raison de douleurs dans la région génitale ou anale.

Bien que non-exhaustive, cette liste de manifestations inclut des signes qui ne sont pas à prendre à la légère. Rappelez-vous que si vous remarquez des signes d’abus ou de violence, que vous avez des doutes ou qu’un jeune ou toute autre personne vous rapporte qu’il ou elle est victime d’abus, il est de votre devoir d’agir.

Que puis-je faire si je pense qu’un jeune de mon entourage est victime de violence?

Si un enfant ou un adolescent se confie à vous, écoutez-le de façon calme et sans jugement. Assurez-vous que l’enfant ou l’adolescent est en sécurité, et offrez-lui votre soutien sans blâmer qui que ce soit ou poser de jugement.

Vous pensez qu’un jeune puisse être victime de violence? Choisissez un moment et un endroit propice afin d’avoir une conversation privée avec celui-ci, et écoutez-le avec ouverture. Si vos observations personnelles, ou les déclarations et confidences de l’enfant, vous donnent des raisons valables de penser que sa sécurité ou son développement est ou pourrait être en danger, vous devez immédiatement signaler la situation au Directeur de la protection de la jeunesse (DPJ), conformément aux exigences de la Loi sur la protection de la jeunesse (LPJ).

Que puis-je faire si je pense être victime de violence?

Si vous subissez ou pensez subir du harcèlement, de la discrimination ou des comportements violents, agissez rapidement pour mettre fin à ces comportements inacceptables et prévenir toute aggravation de la situation. 

Vous n’êtes pas certain(e) si ce que vous vivez est de la violence? Différents outils en ligne peuvent vous aider à déterminer si vous êtes victime de violence, comme par exemple les tests interactifs de SOS violence conjugale (https://sosviolenceconjugale.ca/fr/explorer-votre-situation) ou encore de Ouvrez les yeux (https://ouvrelesyeux.ca/quiz/).

Ne vous isolez pas. Vous pouvez discuter de la situation avec une personne de confiance, qu’il s’agisse d’un ami, d’un collègue ou d’un membre de votre famille. Gardez toutes les preuves et notez soigneusement les détails tels que la date, l’heure, le lieu, le nom de l’agresseur, les noms des témoins, et la nature précise des gestes posés.

N’hésitez pas à aller chercher de l’aide. Vos émotions sont valides, et vous n’avez pas à vous blâmer pour les comportements dont vous êtes victimes. Vous pouvez contacter un expert en santé mentale et services sociaux de Familio qui pourra vous aider à travers la situation que vous vivez. Vous trouverez aussi ci-dessous une liste de ressources utiles qui pourraient vous aider.

Si vous pensez que votre vie ou celle d’un de vos proches est en danger, n’hésitez pas à contacter les urgences au 9-1-1.

Liste de ressources utiles

Ecoute Entraide
1-855-365-4463
https://www.ecoute-entraide.org/ligne-decoute/

Tel-Aide Montréal
514-935-1101
https://telaidemontreal.org/

Centre d’écoute téléphonique de l’Association canadienne pour la santé mentale filiale de Québec
418-529-1899

Pour les jeunes

Aidez-moi SVP
Pour les jeunes victimes de cyber violence, de sextorsion ou qui veulent bloquer la diffusion d’une photo, d’un sexto ou d’une vidéo sur internet.
https://www.aidezmoisvp.ca/fr/

Jeunesse J’écoute
https://jeunessejecoute.ca/

Tel Jeunes
Par téléphone (6h-2h): 1-800-263-2266
Par texto (8h-22h30): 514-600-1002
Ou par chat: https://jeunessejecoute.ca/

En lien avec la violence sexuelle et conjugale

SOS Violence Conjugale
Ligne d’écoute (24/7): 1-800-363-9010
https://sosviolenceconjugale.ca/

Info-Aide Violence Sexuelle
1-888-933-9007
https://infoaideviolencesexuelle.ca/

Le Regroupement québécois des centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS)
1-877-717-5252
https://rqcalacs.qc.ca/

Rebâtir: Consultation juridique sans frais pour personnes victimes de violence sexuelle et de violence conjugale
1-833-REBATIR
https://rebatir.ca/

Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale
https://maisons-femmes.qc.ca/maisons-membres/

Violence Info
418-667-3232

Autres ressources

Action sur la Violence et Intervention Familiale
450-692-7313
https://avif.ca/

Centre d’aide aux victimes d’actes criminels
1-866-532-2822
https://cavac.qc.ca/

Ligne Aide Maltraitance Adultes Aînés
1-888-489-2287
https://lignemaltraitance.ca/fr

Option – Une alternative à la violence conjugale et familiale
Pour les personnes violent en contexte conjugal et familial et qui voudraient changer
514-527-1657
https://www.optionalternative.org/

Sources

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